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Khalid... a écrit:
[www.tsa-algerie.com]
Même l'UE qui est la partie concernée par cette affaire n'a pas réagit aussi violemment et rapidement, l'UE s'est contentée d'un communiqué pour rassurer le Maroc le temps de trouver une solution.
Après ça vient donner des leçons et prôner la neutralité, l’hôpital qui se fout de la charité...
Il faut être ferme dans cette affaire, soit on met fin à ces ambiguïtés et éclaircir les termes du contrat et la définition des choses, soit on met fin à cette coopération et chaque partie assumera les conséquences...
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Unesuggestion a écrit:
L'UE, ce n'est pas l'Europe. D'ici 10-15 ans, cette structure aura disparu et, pour certains pays, l'€uro sera seulement une monnaie de référence. Les deux sont des paris ratés.
La structure qui lui succédera sera proche de ce qu'était la CEE.
Si l'UE se comporte mal avec le Royaume-Uni (ce qu'elle a commencé à faire), Il y aura une nouvelle structure européenne autour de l'Angleterre.
On peut imaginer, au minimum:
- Pays de Galles
- Pays scandinaves et Finlande
- Pays-Bas
- Hongrie
- Slovénie
Naturellement, sans libre-installation des personnes et blocage total des immigrations incontrôlées.
Il est peu probable que la France et l'Allemagne divorcent: Ce sont 2 faces d'une même pièce.
Tous les pays de l'ex-Europe de l'Est qui font actuellement partie de l'UE n'auront plus aucun intérêt à y rester, puisqu'il n'y aura plus de contribuable européen à tondre.
Ce qui les intéressait, c'est le fric des pays-fondateurs et l'intégration à l'OTAN.
Ils resteront peut-être dans l'UE, dans l'espoir de pouvoir recommencer à se gaver de l'argent des les contribuables des pays-fondateurs.
Autrement dit: Le Maroc doit avoir des contacts avec tous les pays européens, membres et non-membres de l'UE, en particulier avec les plus proches.
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Unesuggestion a écrit:
Pas vraiment: On retourne à l'Europe d'avant les traités de Maastricht, Lisbonne, Schengen et Dublin.
Ça nous ramène à l'Europe d'après la Guerre Froide, en 1992.
Les pays ibériques, puis de l'Est européens, ont rejoint la CE pour se gaver de subventions.
Tous les pays-fondateurs se sont appauvris. En Allemagne, les localités de l'Ouest ont été ruinée à cause de transferts massifs de fonds à destination de l'ex-Allemagne de l'Est.
Les pays de l'Est ont pompé le maximum de fric (et d'emplois) qu'ils pouvaient et ont ensuite rejoint l'OTAN.
Lorsque l'OTAN a violé sa promesse de ne pas s'approcher la frontière russe, l'UE a changé de nature et fait actuellement exactement le contraire de ce pour quoi elle a été bâtie:
Éviter la guerre.
Tout ça, sans compter que les pays baltes et la Pologne, maintenant qu'ils sont dans l'OTAN et protégés par elle, ne se gêneraient pas pour attaquer la Russie.
Or, attaquer la Russie signifie automatiquement que des armes nucléaires seraient utilisées.
Tant qu'à faire, je préfère que ce soit les agresseurs qui se ramassent ces bombes.
Des pays comme la France doivent donc, d'urgence, sortir de ce guêpier qu'est l'UE, quitter l'OTAN et laisser les pays de l'Est se débrouiller seuls avec l'OTAN.
Idem pour Chypre: Ce pays est indéfendable depuis l'Europe.
L'Union Européenne n'est qu'une des entités européennes.
Voici une image qui donne une idée ...
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[archiv.eurotopics.net]Citation
a écrit:
Etelä-Suomen-Sanomat - Finlande | jeudi, 28. août 2014
La Finlande et la Suède bientôt membres de l'OTAN ?
La Suède et la Finlande doivent signer cette semaine un accord de partenariat spécial avec l'OTAN. Celui-ci permettra à l'alliance d'envoyer des troupes dans les deux pays nordiques, ces derniers devenant dès lors responsables de l'approvisionnement et de la logistique. L'adhésion à l'OTAN s'approche à grand pas pour les deux pays, constate le quotidien libéral Etelä-Suomen Sanomat :
"Si cet accord consolide indubitablement la collaboration de la Finlande et de la Suède avec l'OTAN, cela ne fait pas encore d'eux des membres de l'alliance militaire. Et tant que les deux pays ne feront pas partie de l'OTAN, on ne peut espérer la moindre garantie de sécurité de la part de l'organisation. Il faut néanmoins se garder de minimiser la portée de cet accord. En facilitant l'accueil et l'approvisionnement des troupes de l'OTAN en période de conflit, il accroît la compatibilité de la Finlande et de la Suède à l'alliance transatlantique. Cela rend plus accessible qu'auparavant la voie d'une adhésion à l'OTAN."