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Sommet de l'UA : L’Algérie et l’Afrique du sud accordent leurs violons

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Le chef de la diplomatie algérienne, Ramtane Lamamra et son homologue sud-africaine Naledi Pandor. / DR
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Le prochain sommet ordinaire de l’Union africaine se tiendra les 18 et 19 février à Addis-Abeba. La Conférence des chefs d’Etats et de gouvernements sera précédée, le 15 et 16 février, par une nouvelle session du conseil exécutif de l’UA.

Parmi les temps forts de la réunion des ministres africains des Affaires étrangères figurent l'élection de deux juges de la Cour africaine des droits de l'Homme et des peuples (CAfHDP), l'élection de six membres du Conseil consultatif de l'Union africaine contre la corruption (AU-ABC), la nomination de trois juges au Tribunal administratif de l'Union africaine et la nomination d'un membre du Conseil des commissaires aux comptes de l'UA, pour un mandat de deux ans, 2022 et 2023.

En prévision de ces deux rendez-vous, l’Afrique du sud et l’Algérie accordent leurs violons. Le ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra s’est d’ailleurs rendu ce lundi à Pretoria pour rencontrer son homologue, Naledi Pandor, annonce la diplomatie sud-africaine.

Outre ces élections, hautement importantes, la question du Sahara occidental sera examinée par les deux ministres. Un sujet qui, pour mémoire, était au menu de la visite de Mme. Pandor à Alger en novembre 2021. En revanche, le retrait du statut d’observateur, accordé en juillet 2021, à Israël au sein de l’Union africaine, n’est plus à l’ordre du jour des actions des deux pays.