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Maroc : Après la libération de Monjib, Raïssouni et Radi espèrent une ouverture politique

Publié
Omar Radi et Soulaiman Raïssouni / DR.
Temps de lecture: 1'

Après la liberté conditionnelle accordée à l’historien et du militant Maâti Monjib, les journalistes incarcérés Soulaiman Raïssouni et Omar Radi se sont félicités de cette décision. Dans une déclaration écrite conjointe, ils ont exprimé leurs espoirs que «cette nouvelle soit annonciatrice d’une avancée vers une ouverture réelle, sur les plans politiques et des droits humains» au Maroc.

En remerciant Monjib pour «sa lutte pour l’équité et la vérité», ils ont également salué leurs familles «pour leur résistance face à cette situation», ainsi que les membres des collectifs d’avocats «qui n’ont eu de cesse de contribuer» à leur défense.

«Nous remercions toutes les personnes qui ont exprimé leur solidarité avec nous et l’ensemble des instances de droits humains, politiques et syndicales qui nous ont adoptés et ont cru en la légitimité de notre cause en tant que détenus d’opinion dans ces dossiers dont la nature n’échappe heureusement plus à l’opinion publique.»

Dans ce sens, Omar Radi et Soulaiman Raïssouni ont également exprimé leurs souhaits que les dossiers des autres détenus politiques et d’opinion puissent bénéficier de cette ouverture.